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Deux dialogues entre "La Télévision et le Livre"
Dialogue 1
                        Depuis longtemps déjà,  le livre accuse la télévision  de lui avoir détourné ses lecteurs.
                          Un jour de marché, ils se  rencontrent : 
  "Bonjour madame la  télévision,  tu viens me concurrencer même au marché, dit le  livre ? Tu n’es donc pas satisfaite de m’avoir volé mes lecteurs et de les  avoir rendus fainéants et paresseux ? 
                          - N’exagère pas monsieur le livre, réponds  la télévision. Rien ne vaut la lecture d’un bon livre au coin de sa cheminée. 
                          - Et rien non plus ne vaut le fait de  pouvoir regarder un film sans bouger de son lit douillet, ajoute le livre.  
                          - Tu vois bien monsieur le livre tu as  compris. Tu as toujours ta place dans la société. C’est juste le progrès. 
                          - J’ai compris, dit le livre, avant il  n’y avait que la lecture pour s’informer et se distraire. 
                          Mais maintenant que la télévision est  là, on est obligé de vivre ensemble."
                          Entendu, le livre et la télévision, chacun à sa place.  
                        OUCHELLI  LILIA    Classe  4AM3
Dialogue 2
                          Il était une fois un  dialogue entre le livre et la télévision, voici son contenu :
  « Pourquoi tu m’enlève mon public ? demande le livre.
  - Ce n’est pas moi le responsable !
  - Qui est le responsable alors ?
  - Et bien ! Tu es sûr, tu ne  connais pas le coupable ?!
                          - Nom répond le livre.
                          - Le coupable c'est le public  il a fait son  choix !
                          - Pourquoi il t’a choisi toi ? Je  suis aussi intéressant que toi !
                          -Le public choisit juste le plus populaire, comme moi. » 
                        FERIEL LARBI    Classe  4AM2 
Quand la ville se moque de la  campagne
                          
                          La ville et la campagne ont toujours  été de grandes rivales. Elle ne se sont jamais mises d’accord sur quoi que ce  soit. Un jour, je surpris une de leur conversation. La ville s’adressa à la  campagne d’un air confiant et supérieur :
                          « Tu vois que j’avais  raison !
                          - Et en quoi avais-tu raison ?  lui répliqua-t-elle d’un ton surpris et moqueur.
                          - Tous les gens te fuient !
                          - Et pourquoi ?
                          - Car ils me préfèrent à toi !
                          - Et pourquoi te préfèrent-ils à  moi ?
                          - Ils me préfèrent car je leur apporte  une vie pleine de bonheur et de modernité, alors que toi, tu ne fais que les  appauvrir et les importuner.
                          - Et toi tu ne fais que les attirer  avec tes immeubles et tes lumières, tu ne cherches que le succès et la gloire,  tu n’es rien sans tes immeubles et tes lumières artificielles.
                          - Bon, je pense que nous avons toutes  deux raison, alors pourquoi ne ferions-nous pas la paix ?
                          - D’accord ! »
                          Et c’est  comme cela que la ville et la campagne arrêtèrent leurs disputes et devinrent  de grandes amies.
                          IRATNI LINA   Classe  4AM2.